vendredi 1 juillet 2011

Don Coucoubazar à coucou Laszlo



Don Coucoubazar souhaite un très joyeux anniversaire à coucou Laszlo.

jeudi 1 juillet 2010

Laszlo Le Grand

Le prince Laszlo dirigeait son peuple avec intelligence. Les Gormiti vivaient en paix. Si bien que leur monde ressemblait au paradis. Mais un jour, l’armée des robots entreprit de prendre ce territoire et les richesses qu’il renfermait. L’armée des robots déclencha la guerre contre les Gormiti et leur seigneur Laszlo.


Les batailles étaient sans merci. L’armée des robots plus nombreuse et mieux entrainée à la guerre remportait les premiers combats.


Au fil des batailles, Laszlo et ses Gormiti perdaient du terrain. L’armée des robots secondée par des créatures diaboliques embrasait les terres et semait la désolation.


Le prince Laszlo se retrouva seul bien rapidement pour défendre son château. Les forces commençaient à lui manquer. Ses soldats avaient livré des combats courageux, mais s’étaient inclinés face au nombre. Laszlo était bel et bien cerné.


C’est alors que surgit de nulle part le chevalier noir Keziah venu prêter main forte au prince Laszlo. Keziah et Laszlo étaient frères. Le chevalier noir Keziah était craint de tous. Sa puissance était phénoménale. Son courage n’avait pas de limite, tout comme celui de son frère.


L’armée des robots continua la guerre dans un premier temps. Mais face à la détermination et à la force des deux frères réunis, elle comprit qu’elle n’avait qu’un seul choix possible : la fuite.


C’est ainsi que la légende raconte la première guerre remportée par Laszlo contre les robots.

Le plus incroyable, c’est que Laszlo n’avait que six ans.

dimanche 23 mai 2010

Apérophobie


Voilà où nous en sommes. A l’heure où Christian, ministre de l’industrie, certes mal-logé, oublie les convenances les plus rudimentaires de l’art de recevoir et manque d’offrir la moindre collation à ses visiteurs pourtant accourus chez lui comme l’affamé se précipite à la soupe populaire, il faudrait interdire les apéros géants. Nous nous occuperons sans doute du cas de Christian dans une prochaine chronique hospitalière tant l’urgence de son indigence m’a ému pour ne pas dire bouleversé. Mais revenons à nos moutons cadets de la nation au bord de la faillite éthylique. Trouvons leur un berger. Voilà l’affaire. Car il s'agit bien de cela. Que signifie se réunir entre jeunes sans prévenir la moindre autorité dans le seul souci de se pochtronner ? Qu’y-a-t-il de si irrésistible à boire sans mesure dans l’ignorance et la négation coupables de l’avenir radieux ? L’amateurisme de ces soiffards réveille toutes les craintes. Il faut les encadrer par des professionnels de la buvette. Les meilleurs qui soient. Un cordon ombilical de CRS, gendarmes, policiers et autres chevaliers du mérite vinicole s’impose donc pour ne pas rompre le lien avec la mère patrie. Car ce qui l’inquiète, ce n’est pas tant les débordements festifs que la rupture oedipienne sans complexe que ses enfants lui infligent. Délaissée par ses rejetons, la patrie est en danger. Elle a enfanté une chimère qu’elle doit à présent ramener dans le droit sillon de la modération. La modération, pour s’en abreuver jusqu’à plus soif !

mercredi 31 mars 2010

La correction qui vient


Que les insurrectionnels se le disent : le crime ne paie plus. Bientôt. Alain va prêter main forte à Luc. Luc C., c’est le porte-parole du gouvernement et, accessoirement, l’éducateur en chef. Alain B., c’est le porte-flingue et, accessoirement, le redresseur de torts. Des pointures. Pas des fillettes. Deux experts. Que la divine providence a rapprochés. Luc est désespéré. Dans son Ecole règnent la terreur et l’impunité. Cette loi d’amnistie n’a que trop duré. Alain and associates sont chargés d’y mettre un terme. 9 mois après son installation au ministère, Luc a accouché d’une idée de haut vol. Les états généraux de la sécurité à l’Ecole sont déclarés ouverts. Que les meilleurs gagnent. Et la sécurité, c’est le dada d’Alain. Son sanctuaire. Alain est le meilleur dans ce genre. Le meilleur de ce conseil scientifique chargé d’apporter une expertise pluridisciplinaire de haut niveau dans le cadre de la préparation et du suivi des états généraux. Une belle équipe, de professeurs, pédopsychiatres, psychopathologues, chercheurs, recteurs, et autres saltimbanques, entoure Alain. Ils sont 15. Mais Alain est le meilleur, répétons le. Le plus gradé. The criminologue. Il aura le dernier et fin mot de cette histoire. Alain est le seul à savoir de quoi il parle. A l’avance. C’est sa force. Alain a le recul nécessaire. Observateur avisé, Alain sait aussi que la sûreté est un métier, et qu’elle exige des professionnels. Quoi qu’il en coute.

dimanche 21 mars 2010

Principauté choucroute




Il y a
quelque chose
de pourri
dans
le royaume
de France.



Nicolas et François vont se concerter en catimini pour échafauder un remaniement technique. Que faut-il comprendre? Quelles têtes couper? Quelles têtes?

Ou alors ont-ils l’idée d’établir le gouvernement en exil ... en Alsace?

mercredi 3 mars 2010

L’UMP voie de garage


Xavier, le concessionnaire de la marque, n’en revient pas. Les adhérents non plus, ne reviennent pas. Ils s’en sont allés loin, très loin, aux confins de la galaxie UMP. Pour ne plus jamais revenir peut-être. Le tourbillon intellectuel de l’UMP leur a donné le tournis et l’effet centrifuge ne s’est pas fait attendre. Xavier n’attire plus. Incroyable. Cette force de la nature a perdu son pouvoir d’attraction. L’heure est grave. Le rêve de Xavier s’évapore. Ils devaient être innombrables à le rejoindre, presque trop pour être comptés. Xavier rêvait d’un trop-plein de candidats. Et patatras. Entre Xavier et les adhérents, ça ne colle plus. Le mouvement s’est inversé. A force de charger la mule, on finit par se battre seul contre les moulins. Le mouvement n’a plus le vent en poupe. Le bateau ivre s’est changé en galère. Et Xavier n’en revient pas.

Xavier voyait des archipels sidéraux ! et des îles
Dont les cieux délirants étaient ouverts au vogueur
Est-ce en ces nuits sans fonds qu’ils dorment et s'exilent,
Million d'oiseaux d'or, ô future Vigueur ?

jeudi 25 février 2010